King of pop

L’« Apocalypse pop » DIY de Jackson Scott s’accroche et ne nous quitte plus. Addictif.

Plutôt que de regarder le plafond de sa chambre, allongé sur sa couette, ou de faire cinquante fois le tour du pâté de maisons en wheeling, Jackson Scott s’est mis à composer des morceaux psychés, comme ça, l’air de ne pas y toucher. Le p’tit gars de Caroline du Nord a gratouillé sa guitare désaccordée et chantonné de sa voix enrayée, nonchalamment…

Il a produit de purs pépites pop, comparées à du Syd Barrett barré ou du Televison Personalities en panne et qui ont séduit Fat Possum (Crocodiles, Bob Log III…), label de son premier album, Melbourne. Dissonant, lo-fi, drogué, dérangé, sale, boiteux… et génial.

En concert jeudi 31 octobre au Troc’afé dans le cadre du festival Supersounds

 

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